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Audit chez EY : les raisons de choisir ce cabinet de renom

Le classement des cabinets d’audit place systématiquement EY parmi les « Big Four », aux côtés de Deloitte, KPMG et PwC. Cette position repose sur une combinaison unique de services, de réseaux internationaux et de stratégies de recrutement ciblées.

EY attire chaque année des milliers de jeunes diplômés, séduits par l’ampleur des missions proposées et la renommée de ses clients. L’organisation interne se distingue par des programmes de formation continue et une mobilité internationale, facteurs décisifs dans la progression de carrière.

Les Big Four : comprendre leur rôle et leur impact sur le secteur du conseil

Parler des Big Four, c’est évoquer bien plus qu’un simple quatuor de cabinets d’audit. Deloitte, Ernst & Young (EY), PricewaterhouseCoopers (PwC) et KPMG font figure de piliers dans le secteur mondial du conseil et de l’audit. Leur influence s’étend bien au-delà du contrôle des comptes : ils posent les jalons des meilleures pratiques financières et dictent les tendances qui s’infiltrent jusque dans les PME cotées. Ensemble, ils génèrent plus de 150 milliards de dollars de revenus annuels et mobilisent une armée de plus d’un million de collaborateurs à travers le globe.

Leur ancrage historique varie : Deloitte remonte au XIXe siècle, PwC et EY émergent au siècle suivant, tandis que KPMG naît de fusions plus récentes, dont l’acronyme reste encore mystérieux pour beaucoup. Chacun s’est construit une identité propre : Deloitte s’impose dans le consulting, PwC fait de l’audit son terrain de jeu principal, EY développe une pluralité de métiers, KPMG se distingue par la proximité avec ses clients. Toutefois, tous offrent un éventail complet de services, parmi lesquels :

  • Audit financier
  • Conseil en stratégie
  • Services juridiques et fiscaux
  • Accompagnement des transactions
  • Transformation digitale

L’affaire Enron a marqué un tournant radical, provoquant la chute d’Arthur Andersen et imposant une séparation stricte entre audit et conseil. Depuis, la transparence et la gouvernance sont devenues la norme, consolidant la place des Big Four. Leur rôle ne s’arrête pas à la technique : ils forment une génération entière de dirigeants, exportent leurs méthodes et insufflent un rythme d’innovation permanente dans tout le secteur du conseil.

EY face à la concurrence : ce qui distingue vraiment ce cabinet de renom

La compétition entre les Big Four ne se limite pas à la taille ou au chiffre d’affaires. EY, troisième du classement avec 51 milliards de dollars en 2024, se démarque par une approche singulière. Sa filiale EY-Parthenon incarne cette volonté de lier expertise opérationnelle et vision stratégique, afin d’apporter des réponses concrètes aussi bien aux directions financières qu’aux comités exécutifs.

Sur le segment du conseil en stratégie, EY n’a pas la même réputation que McKinsey, BCG ou Bain, les fameux MBB. Pourtant, la puissance de son réseau, fort de plus de 300 000 spécialistes, offre à EY une capacité d’action redoutable pour accompagner les grandes transformations, les opérations de private equity ou les restructurations complexes. Ce qui fait la différence : la diversité sectorielle, la transversalité, et une proximité constante avec les métiers financiers.

Les cabinets comme Oliver Wyman, Roland Berger ou Kearney sont connus pour leur agilité et leur spécialisation. EY, lui, valorise la complémentarité : audit, stratégie, transactions, fiscalité. Cette synergie interne fluidifie les échanges, affine les analyses et renforce la pertinence des recommandations. Par ailleurs, l’investissement dans la transformation digitale est massif : intelligence artificielle, data analytics, outils de pointe sont au cœur de la stratégie du groupe.

Contrairement à certains concurrents, EY privilégie une démarche transversale : mobiliser toutes les expertises autour d’un même client. Ce choix séduit les grands groupes, les fonds d’investissement, mais aussi les entreprises de taille intermédiaire qui cherchent un partenaire fiable dans un univers réglementaire en perpétuelle évolution.

Auditeur examinant des documents financiers dans un bureau lumineux

Travailler chez EY : une expérience enrichissante pour booster sa carrière

Rejoindre EY, c’est s’installer sur une rampe d’accélération professionnelle. Avec plus de 300 000 collaborateurs répartis dans le monde entier, le cabinet attire chaque année des jeunes diplômés issus des meilleures formations, attirés par la richesse des parcours proposés et l’intensité des défis à relever. L’accès n’est pas ouvert à tous : diplôme reconnu, capacité d’analyse poussée, expérience internationale sont autant d’atouts pour franchir la sélection.

Dès l’arrivée, les nouvelles recrues plongent dans une variété de missions : audit, conseil, finance d’entreprise, fiscalité. L’exposition à des clients de haut niveau, parfois dès les premières semaines, forge une polyvalence et une agilité intellectuelle peu communes. Le rythme est soutenu, c’est vrai, mais la progression s’en ressent : les responsabilités arrivent vite, pour ceux qui s’en donnent la peine.

EY mise sur le développement des compétences tout au long du parcours : formations ciblées, mentorat, mobilités à l’étranger. Les passerelles entre métiers sont réelles, tout comme les opportunités de partir quelques années à Londres, New York ou Singapour. Ce réseau international, adossé à une marque forte, valorise chaque expérience acquise et ouvre de nombreuses portes, aussi bien en interne que sur le marché de la finance et du conseil.

Les rémunérations à l’embauche figurent parmi les plus attractives du secteur, et l’évolution peut être rapide pour ceux qui s’investissent pleinement. Un passage chez EY, inscrit sur un CV, continue de faire la différence auprès des employeurs et des chasseurs de têtes, bien au-delà du seul univers de l’audit.

Choisir EY, c’est miser sur un environnement qui façonne des professionnels agiles, ouverts sur le monde et prêts à gravir de nouveaux sommets. La suite de l’aventure ? Elle dépendra de l’audace de chacun à saisir les opportunités qui se présentent.